Jeunesse sans papiers; Jeunesse volée; La loi doit changer
La préfecture des Hauts de Seine se présentait en février 2010 comme celle « où l’accueil des étrangers était le mieux assuré, » chiffres à l’appui. Nous n’avons pas de chiffres, mais des faits, qui montrent la persistance de la traque des étrangers dans les transports et sur les lieux de travail, les arrestations y compris en préfecture, les OQTF infligées aux familles au mépris de toute humanité, et les conditions toujours sordides d’attente et d’accueil des étrangers aux portes des préfectures. Nous avons des histoires qui disent que la jeunesse des lycées, les parents des écoles, les enseignants, les citoyens, les élus, indignés de ce qu’ils apprennent, continuent à se mobiliser, agissent pour obtenir libérations et régularisations.
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