Association des Travailleurs Maghrébins de France
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ALGERIE : Réunion des chômeurs maghrébins réprimées (Communiqué commun)

Mercredi 20 février 2013 à 9h00 du matin, 11 chômeurs, de nationalité tunisienne, Marocaine et mauritanienne, venus assister au premier forum des chômeurs et des travailleurs précaires, initié par le SNAPAP (Syndicat National Autonome de l’Administration Publique) dans le cadre de la dynamique de la préparation du FSM (Forum Social Mondial), ont été arrêté à leur hôtel à Alger et reconduits à la frontière comme de vulgaires délinquants après avoir passé la journée au commissariat de Bab-Ezzouar. Le siège du SNAPAP à Alger a été également encerclé pour empêcher toute participation à la rencontre. Deux des organisateurs algériens ont été également arrêtés et ont passé la journée au commissariat avant d’être relâchés en fin d’après-midi.

Le jour même, dans la wilaya de Laghouat, des jeunes chômeurs voulant se rassembler pacifiquement devant le bureau de main d’œuvre ont également été interpellés et réprimés par les forces de l’ordre.

Nous, associations regroupées dans le cadre du FALDI, exprimons notre indignation face aux méthodes des autorités algériennes et soutenons par la présente nos amis des collectifs diplômés chômeurs tunisiens, marocains, mauritaniens et algériens pour les humiliations et préjudices subis de la part des autorités algériennes.

Exprimons notre solidarité avec le SNAPAP et les organisations de chômeurs/euses maghrébines (ANDCM, UDC, AMDC) et notre soutien à leur lutte contre le chômage et la précarité.

Demandons :

– L’arrêt de toute forme de harcèlement et d’intimidation envers tous les militants et défenseurs de droits Humains

– Que soient prises toutes les mesures nécessaires au bon respect des libertés fondamentales et des libertés syndicales, conformément à la Constitution algérienne et les dispositions du Pacte international pour les droits civils et politiques (PIDCP) et des Conventions de l’OIT, ratifiés par l’Algérie.

– Le respect du droit de réunion et de manifestations pacifiques.

– L’ouverture d’un dialogue avec les organisations de chômeurs et syndicales.

– Ne pas entraver la venue au FSM des délégations algériennes et de la société civile

Contacts :

· cherbib@gmail.com Portable : 06 50 52 04 16

· delkherchi@yahoo.fr Portable : 06 22 50 48 00

Paris, le 21 février 2012

Premiers signataires :

AMF/ ATF/ ATMF/ FTCR/ ACORT/ ASDHOM / ACDA/ FCMA/ CSP92/ IDD/ UTIT/ CRLDHT/ N’AOURA Belgique / EMCEMO-Amsterdam/ MIGRATION SANTE/ FASTI/ « Coordination Régionale Rhône-Alpes de Solidarité avec les Sans Papiers /MANIFESTE DES LIBERTES/ ELGHORBA/ AFAPREDESA/ CORELSO/FEMMES PLURIELLES/ COLLECTIF DES COMMUNAUTES SUBSAHARIENNES AU MAROC/ ICI ET LA/ REMCC/ COLLECTIF 3C/ AIDDA/ MCTF/ APCV/ATTS Suisse/ UNIT/ FSQP/ CSP75/ ATTAC/ ASTU – ACTIONS CITOYENNES INTERCULTURELLES- Strasbourg/FCSME,/ Conseil des Migrants (Maroc)/ ODT (migrants Maroc)

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Liberté immédiate pour Samir Issawi gréviste de la faim dans les prisons israéliennes

Le Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens (CNPJDPI) appelle à un rassemblement ce jeudi 21 février 2013 à 18h30 Paris – place des invalides

Samir Issawi, Palestinien de Jérusalem âgé de trente-quatre ans, en grève de la faim depuis plus de 200 jours, qui est à l’agonie aujourd’hui dans l’hôpital de la prison de Ramla, il y est maintenu en vie par sonde gastrique. Par cet acte il veut dénoncer la détention administrative sans procès et les conditions de son emprisonnement par Israël.

Nous demandons au Gouvernement de la France d’intervenir immédiatement et énergiquement contre la barbarie en cours et de tout faire pour sauver Samir Issawi

Une délégation du Collectif national pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens sera reçu par le ministère des Affaires étrangères.

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Le Collectif pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens :

Agir Contre le Colonialisme Aujourd’hui (ACCA) – Alliance for Freedom and Dignity (AFD) – Alternative Libertaire (AL) – Américains contre la guerre (AAW) – Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF) – Association des Tunisiens en France (ATF) – Association France Palestine Solidarité (AFPS) – Association Nationale des Elus Communistes et Républicains (ANECR) – Association pour la Taxation des Transactions financières et pour l’Action Citoyenne (ATTAC) – Association pour les Jumelages entre les camps de réfugiés Palestiniens et les villes Françaises (AJPF) – Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) – Association Universitaire pour le Respect du Droit International en Palestine (AURDIP) – Campagne Civile Internationale pour la Protection du Peuple Palestinien (CCIPPP) – Cedetim / IPAM – Collectif Faty Koumba : association des libertés, droits de l’Homme et non-violence – Collectif interuniversitaire pour la coopération avec les Universités Palestiniennes (CICUP) – Collectif Judéo-Arabe et Citoyen pour la Palestine (CJACP) – Collectif Paix Palestine Israël (CPPI Saint-Denis) – Comité de Vigilance pour une Paix Réelle au Proche-Orient (CVPR PO) – Comité Justice et Paix en Palestine et au Proche-Orient du 5e arrt (CJPP5) – Confédération paysanne – Droit-Solidarité – Europe-Ecologie / les Verts (EE-LV) – Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR) – Fédération pour une Alternative Sociale et Ecologique (FASE) – Fédération Syndicale Unitaire (FSU) – Gauche Anticapitaliste (GA) – Gauche Unitaire (GU) – Génération Palestine – La Courneuve-Palestine – Le Mouvement de la Paix – Les Alternatifs – Les
Femmes en noir – Ligue des Droits de l’Homme (LDH) – Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté, section française de la Women’s International League for Peace and Liberty (WILPF) (LIFPL) – Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP) – Mouvement Jeunes Communistes de France (MJCF) – Mouvement Politique d’Emancipation populaire (M’PEP) – Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) – Organisation de Femmes Egalité – Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF) – Parti Communiste Français (PCF) – Parti de Gauche (PG) – Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM) – Une Autre Voix Juive (UAVJ) – Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens (UTIT) – Union Générale des Etudiants de Palestine (GUPS-France) – Union Juive Française pour la Paix (UJFP) – Union Nationale des Etudiants de France (UNEF) – Union syndicale Solidaires

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Non aux assassinats politiques en Tunisie

CHOKRY BELAÏD, secrétaire général du Parti Unifié des Patriotes Démocrates et dirigeant du Front Populaire, assassiné le 6 février 2013 est une perte pour toutes celles et ceux qui prônent la liberté, la dignité, la justice et le respect des droits de l’Homme.

Les militantes et les militants de l’ATMF présentent leurs sincères condoléances à sa famille, à ses proches et au peuple tunisien.
Cet assassinat politique du combattant de la liberté et pour la démocratie en Tunisie n’est que la conséquence directe des discours de haine et d’appel au meurtre des obscurantistes et des opposants à la révolution tunisienne qui a chassé du pouvoir le dictateur Ben Ali.
CHOKRY BELAÏD se savait menacé, il signala ces menaces aux autorités tunisiennes. Il n’a jamais cédé aux intimidations et aux actes de violences.

CHOKRY BELAÏD a été la voix libre qui dénonçait les injustices et les discours haineux contre les démocrates et toutes celles et ceux qui aspirent à la liberté et à l’Etat de droit en Tunisie.
L’ATMF condamne avec fermeté ce crime politique odieux, et exige des autorités tunisiennes que tout soit mis en œuvre pour arrêter les criminels et que justice soit rendue.

L’ATMF, fidèle à ses engagements, continuera son soutien et son combat avec toutes les forces progressistes, aussi bien ici en France, que de l’autre côté de la méditerranée, pour une Tunisie libre et démocratique.

Paris, le jeudi 7 février 2013, Le BN de l’ATMF

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ASSASSINAT DE CHOKRI BELAID

Nous, organisations signataires engagés dans les préparatifs du Forum Social Mondial qui se tiendra en Mars 2013 à Tunis, sommes consternés et révoltés par l’assassinat de Chokri Belaid, leader politique qui a consacré sa vie à lutter pour la démocratie, la liberté et la justice sociale.

Nous exprimons nos condoléances à la famille du défunt, à ses compagnons de lutte, aux démocrates tunisiens, à ses amis, au peuple tunisien pour la perte d’un homme qui n’a eu cesse de les défendre.
Ce crime odieux intervient après deux années du déclenchement des révolutions en Tunisie et dans la région et à moins de 2 mois de la tenue du FSM 2013 à Tunis.

Cet assassinat vise à faire taire ceux et celles qui luttent pour la dignité, la liberté et la justice sociale, il vise à créer un climat de peur et de haine et faire basculer la Tunisie dans la violence.
Un tel acte ne pourra enrayer ni arrêter le processus engagé par les démocrates tunisiens avec qui nous sommes solidaires. Nous sommes convaincus que les forces démocratiques tunisiennes sauront garder la forte et inébranlable conviction et choix de la résolution pacifique des conflits pour parfaire leur processus démocratique.
Nous appelons les autorités tunisiennes à diligenter d’urgence une enquête impartiale pour déterminer les auteurs de cet assassinat et de tout mettre en œuvre pour que cet acte ne reste pas impuni et ne se reproduise plus.

Nous sommes plus que jamais convaincus de la nécessité d’une mobilisation internationale pour la réussite du FSM 2013 pour en faire un moment fort de soutien au processus démocratique en Tunisie.

PREMIERS SIGNATAIRES :

— COLLECTIF DÉMOCRATIE ET MODERNITÉ
— OBSERVATOIRE MAROCAIN DES LIBERTÉS PUBLIQUES
— RÉSEAU INTERNATIONAL NO VOX
— AFAPREDESA
— FSU (FÉDÉRATION SYNDICALE UNITAIRE)
— N’AOURA
— CRID
— RETE ITALIANA FSM
— ARCI – ITALIE
— COBAS
— IPAM (INITIATIVES POUR UN AUTRE MONDE)
— ATMF
— SNAPAP
— IDD (IMMIGRATION DÉVELOPPEMENT DÉMOCRATIE)
— FCMA
— COMMISSION BRESILIENNE JUSTICE ET PAIX
— ASDHOM
— FONDATION Franz Fanon
— CIRANDA
— UNION NATIONALE DES TRAVAILLEURS AU MAROC (UNTM)
— GLOBAL SOCIAL JUSTICE
— ASSOCIATION EL GHORBA
— ASSOCIATION CITOYENNE POUR LA DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE
— ASSOCIATION BENI ZNASSEN POUR LA CULTURE, LE DÉVELOPPEMENT ET LA SOLIDARITÉ
— RESEAU MAROCAIN EUROMED DES ONGS
— ASSOCIATION DES AMIS DE LA DÉMOCRATIE ET DE LA LIBERTÉ D’EXPRESSION – ADLE –
— ORGANISATION DEMOCRATIQUE DU TRAVAIL (ODT)
— UNION GÉNÉRALE DES TRAVAILLEURS AU MAROC (UGTM
— CONFÉDÉRATION DÉMOCRATIQUE DU TRAVAIL (CDT)
— FÉDÉRATION DÉMOCRATIQUE DU TRAVAIL (FDT)
— RÉSEAU AMAZIGH POUR LA CITOYENNETÉ (AZETTA)
— ASSOCIATION DÉMOCRATIQUE DES FEMMES DU MAROC (ADFM)
— CEDETIM
— COORDINATION MAGHRÉBINE DES DROITS HUMAINS (CMODH)
— FEMMES ALTERNATIVES (FMAS)
— ACTION JEUNESSE (FMAS)
— FORUM DES ALTERNATIVES MAROC (FMAS)
— E-JOUSSOUR
— RAZDED – MAROC
— FOBDEC – MAROC
— SOS MIGRANTS – Belgique
— LIGUE TUNISIENNE DES DROITS DE L’HOMME
— FTCR
— AJAK MAROC

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VERSION ARABE

بلاغ حول اغتيال شكري بلعيد
نحن المنظمات المنخرطة في التحضير للمنتدى الاجتماعي العالمي الذي سينعقد في مارس 2013 بتونس، مروعون ومشميزون بشدة لاغتيال شكري بلعيد، الزعيم السياسي الذي وهب حياته للنضال من أجل الديمقراطية، والحرية، والعدالة الاجتماعية:
– نتقدم بتعازينا لعائلة المرحوم شكري بلعيد، ورفاقه في النضال،وإلى الديمقراطيين التونسيين، وأصدقائه، وإلى الشعب التونسي الذي فقد أحد الرجال الذين لم يتوانوا في الدفاع عنه؛
– نسجل أن هذه الجريمة الشنعاء تأتي بعد سنتين على انطلاق الثورات في تونس والمنطقة، وقبل أقل من شهرين على إنعقاد المنتدى الاجتماعي العالمي 2013 بتونس؛
– أن هذا الاغتيال يستهدف إسكات اللواتي، والذين يناضلون من أجل الكرامة، والحرية والعدالة الاجتماعية، كما يرمي إلى خلق مناخ من الرعب والحقد، والدفع بتونس نحو العنف؛
– نؤكد أن مثل هذا الفعل الإجرامي لا يمكنه أن يكبح أو يوقف مسار نضال الديمقراطيون التونسيون الذين نتضامن معهم. وأننا مقتنعون بأن القوى الديمقراطية التونسية ستحافظ بقوة وقناعة ثابتة على الخيار السلمي لحل النزاعات من أجل استكمال المسلسل الديمقراطي؛
– ندعو السلطات التونسية إلى الإسراع والتعجيل بفتح تحقيق نزيه لتحديد مرتكبي هذه الجريمة، والقيام بكل ما يجب حتى لا يظل هذا الفعل بدون عقاب، ولضمان عدم تكراره؛
– إننا مقتنعون أكثر من أي وقت مضى بضرورة التعبئة الدولية من أجل إنجاح المنتدى الاجتماعي العالمي 2013 وجعله لحظة قوية لدعم المسلسل الديمقراطي بتونس.

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Quelle est la situation au Maghreb suite au printemps arabe ?

Les changements politiques survenus dans cette région ont-ils profité aux peuples du Maghreb ?

Peut-on espérer l’instauration d’une réelle démocratie au Maghreb ?

Pour répondre à toutes ces question l’ATMF Dijon vous invite à une conférence-débat le

Samedi 23 février 2013 à 17h à la Bourse du Travail 17 rue du Transvaal à Dijon


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Avec comme intervenants :

CHERBIB Mouhiéddine – Président du CRLDHT (Comité pour le Respect des libertés et des Droits de l’Homme en Tunisie)

LAHRACH Sofya – Membre du M20F (Mouvement du 20 février)

AHRAM Ayad – Secrétaire Général de l’ASDHOM (Association de Défense des Droits de l’Homme au Maroc)

Un verre de l’amitié vous sera proposé à la fin du débat.

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contact : atmfdijon@gmail.com

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Colloque Farhat Hached 1952 – 2012 – 60 Ans

Il y a 60 ans, le 5 décembre 1952, Fahrat Hached, fondateur en 1946 et depuis secrétaire général de l’Union générale des travailleurs tunisiens en même temps que l’un des principaux leaders alors du mouvement national tunisien, a été assassiné à Tunis. Ce crime a été commis, sous le couvert d’une organisation terroriste baptisée «la Main rouge», par une branche du service français du SDECE qui, depuis sa création en janvier 1946, dépendait directement du président du Conseil, celui-ci
étant alors Antoine Pinay. Il est temps que, 60 ans plus tard, la responsabilité de ce crime, qui a provoqué une immense émotion en Tunisie a pesé lourdement sur l’avenir de ce pays, soit enfin reconnue.

Après avoir rappelé les faits, le colloque interpellera les autorités françaises sur le rôle du gouvernement de l’époque et demandera l’ouverture de toutes les archives relatives à ce crime. Il soulèvera aussi les questions posées par les déclarations, en décembre 2009, à la chaîne de télévision Al Jazira d’un citoyen français qui a revendiqué avoir appartenu de cette organisation, déclaré «si c’était à refaire, je
referais» et estimé l’assassinat de Farhat Hached «légitime». Un point sera fait sur la plainte déposée contre lui, pour apologie de crimes de guerre, en mars 2010 par les membres de la famille Hached, la LDH et la FIDH.

Par la suite, le même service du SDECE, avec l’aval d’autres chefs du
gouvernement, a continué à assassiner des personnalités engagées dans le combat anticolonial. Le 21 mai 1959, l’un des avocats qui défendait les indépendantistes algériens, Me Amokrane Ould Aoudia, du barreau de Paris, a été assassiné dans le IIe arrondissement, rue Saint-Marc, en sortant de son cabinet, par des agents du Service action du SDECE, avec l’aval du Premier ministre Michel Debré.

Le 29 octobre 1965, des policiers français dépendant du SDECE ont prêté la main à l’enlèvement en plein Paris, boulevard Saint-Germain, de l’homme politique marocain et leader tiers-mondiste Mehdi Ben Barka, qui a été suivi de sa disparition; jusqu’à ce jour, les Etats français et marocains n’ont pas reconnu leurs responsabilités
dans son assassinat.

Le 4 mai 1978,Henri Curiel, qui avait animé un réseau français de soutien à la lutte d’indépendance algérienne puis soutenu l’action de Ben Barka, a été assassiné à Paris, dans le Ve arrondissement, par des hommes du Service action du SDECE.

Après l’affaire Ben Barka, De Gaulle avait rattaché le SDECE au ministère desArmées et soumis les homicides de son Service action à l’aval du Président de la République ; le président était alors Valéry Giscard d’Estaing. Il est temps que la vérité soit dite sur ces meurtres.

I N V I T A T I O N

Association Vérité et Justice pour Farhat Hached

Colloque Farhat Hached 1952 – 2012 – 60 Ans

A QUAND LA VERITE SUR LES CRIMES COLONIAUX ?

F. HACHED – Me A. OULD AOUDIA – M. BEN BARKA – H. CURIEL….

Samedi 12 Janvier 2013 de 9H à 17h

L’ASSEMBLEE NATIONALE – Salle COLBERT

126, rue de l’Université – 75007

Métro – Assemblée Nationale – Ligne 12

A l’Invitation de :

– Mme la Députée Marie Georges Buffet
– Mr le Député Noel Mamère
– Mr le Député Pouria Amirshahi
– Préside par M. Houcine Abassi Secrétaire Général de l’ UGTT

En présence de plusieurs personnalités :

– Mr Adel Fkih – Ambassadeur de Tunisie à Paris
– Mr Khémaies Chammari – Ambassadeur de Tunisie à l’UNESCO
– Mme Souhayr Belhassen – Présidente de la FIDH
– Mr Kamel Jendoubi – Président de l’ ISIE

En association avec : l’Institut Mehdi Ben Barka – Sortir du Colonialisme

Avec le Soutien des syndicats français :

CFDT – CGT – FSU – Union Syndicale Solidaires – UNSA – Force Ouvrière

Ainsi que les associations :

CTDL – FTCR – ATF – ADTF – UTIT – CRLDHT – AIDDA – Collectif 3 C – MCTF – REMCC – LDH – MRAP – ATTAC – ATMF – AMF – ASDHOM – le Manifeste des Libertés – ACDA – Cédétim – l’ACORT ….

PROGRAMME DE LA JOURNEE

MATINEE

9h : Accueil des participants

9h30 : Intervention de bienvenue d’un élu de l’ Assemblée nationale

9h35 : Ouverture du colloque par Houcine Abassi – Secrétaire général de l’ UGTT

9H45 : Recherche et travaux sur Farhat Hached, état des lieux, par Abdelwahad Mokni – historien, Tunisie

10h05 : Hached dans la « mémoire tunisienne » par Hichem bdessamad – historien, AVJ-FH

10h25 : Témoignage sur F. Hached par Nourreddine Hached

10h35 : Les répercussions de l’assassinat de Hached sur le mouvement national marocain par Najib Taki – historien, Maroc

10h55 : Pause café

11h10 : Projection d’un extrait du film d’al Jazira de 2009

11h20 : Le point sur la plainte déposée contre Antoine Melero, par Me Houcine Bardi, AVJ-FH avocat au barreau de Paris et Conseil de la famille Hached

11h40 : Débat

APRES-MIDI

14h : Trois cas emblématiques des responsabilités des services français dans les assassinats de militants anticoloniaux, introduction par Gilles Manceron, historien – LDH

14h10 : l’assassinat de Me Amokrane Ould-Aoudia, par Jean-Philippe Ould-Aoudia

14h30 : L’enlèvement de Mehdi Ben Barka, par Béchir Ben Barka

14h50 : L’assassinat de Henri Curiel à Paris en 1978, par Sylvie Braibant – Journaliste

15h20 : Connaître et reconnaître les responsabilités politiques françaises dans les crimes coloniaux, par Réné Gallissot, professeur émérite à Paris VIII

15h40 : Réflexions sur les démarches juridiques relatives aux crimes
Coloniaux, par Michel Tubiana – président du Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme

16h : Débat

16h50 : Conclusion, Hédi Jilani – président de AVJ-FH

17h : Fin des travaux.

Pour s’inscrire : vj.fhached@gmail.com

Attention : Pièce d’identité obligatoire pour entrer à l’Assemblée

Contact :

— Nacer Jelloul : 06 43 00 67 15 — Abderrazek Bouazizi : 06 51 75 69 69 — Mrad Gadhoumi : 06 84 47 86 07

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« La Violence, l’Univers Carcéral et les Prisonniers Politiques au Maroc »

Le combat du Mouvement marocain du 20 Février pour la liberté, la dignité, l’égalité et la justice sociale ne saurait faiblir. La mobilisation n’a pas cessé malgré les intimidations, la répression et l’emprisonnement des militantes et des militants qui manifestent pacifiquement pour leur liberté et leur dignité.

Le pouvoir marocain, fidèle à sa politique anti-populaire et anti-démocratique, continue à museler les voix libres des militantes et des militants et à étouffer toute aspiration à la liberté et au changement démocratique.

Le Mouvement marocain du 20 Février Paris/IDF :

– Réaffirme son soutien et exprime sa totale solidarité avec les prisonnièr(e)s politiques au Maroc et condamne la répression systématique du régime marocain,

– Dénonce les jugements préfabriqués par l’appareil judiciaire marocain qui cherche à briser la détermination des militantes et militants libres qui luttent pour un Etat de droit.

Dans le cadre de la campagne d’information et de sensibilisation, pour la libération des détenu(e)s politiques, nous appelons toutes les militantes et tous les militants, engagé(e)s à exprimer pacifiquement leur indignation face à l’injustice que subissent plus de 170 détenu(e)s politiques, dont 70 emprisonnés depuis le 20 Février 2011, victimes de leurs engagements pour la démocratie au Maroc et contre la dictature opprimante du Makhzen.

A cet effet, nous vous invitons à une conférence/débat sur les détenu(e)s politiques suivie d’une projection et d’une soirée artistique le 01 Décembre 2012 à 18H au 33 Rue des Vignoles 75020 Paris.


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Mobilisons-nous, pour soutenir la lutte du peuple marocain pour le droit de vivre dans un pays de dignité, d’égalité, de liberté et de justice sociale.

Vive le mouvement du 20 Février, vive la lutte du peuple Marocain.

mvt20fevrierparisidf@gmail.com

Premiers signataires :

Association des travailleurs maghrébins en France (ATMF) – Confédération nationale du travail (CNT)- La Voie Démocratique Paris – Association Marocaine des Droits Humains Paris/IDF (AMDH-PARIS/IDF) – L’inter-collectif de soutien aux luttes des peuples du monde arabe (Inter-Co)- Sortir du Colonialisme, La coordination de soutien au mouvement de 20 février – Bruxelles, Pour une alternative révolutionnaire (Badil Tawri), Le Comité de soutien au Mouvement du 20 Février – Montpellier, FCSME, Association de Défense des Droits de l’Homme au Maroc (ASDHOM), Association des Marocains en France (AMF)….

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Solidarité avec les travailleurs mineurs de la région de Ouarzazate et leurs leaders

Depuis plusieurs mois les mineurs marocains de la région de Ouarzazate (Sud du Maroc) mènent une lutte acharnée contre les conditions d’exploitation imposées par le patronat des mines, qui n’est autre que le consortium des sociétés minières dont le propriétaire est la famille royale du Maroc ! Les arrestations des travailleurs et de leaders syndicaux de la CDT (Confédération Syndicale du Travail) qui les soutiennent se multiplient et prennent un tournant grave.

Vendredi 16 novembre, le secrétaire général adjoint de la CDT de Ouarzazate, le camarade Hamid Majdi, par ailleurs élu municipal de la ville et membre de l’AMDH (Association Marocaine des Droits Humains), vient d’être arrêté à Marrakech pour officiellement « présence de drogue dans sa voiture » ! Depuis, il a été relâché sous caution dimanche 18 novembre, avant son passage devant les tribunaux. Le camarade Majdi est connu pour son intégrité et sa combativité pour les droits sociaux et humains.

Cette tentative de criminalisation des luttes des travailleurs et de leurs leaders est odieuse. Elle s’inscrit dans le droit fil des pratiques mafieuses connues de longue date de la part de la police marocaine. La dernière en date est celle infligée au camarade Camara Laye, coordinateur du Conseil des Migrants Subsahariens au Maroc (CMSM), poursuivi pour motif fallacieux « trafic de cigarettes et d’alcool » !

Les associations signataires regroupées dans le cadre du FALDI (Forum des Associations des Luttes Démocratiques de l’Immigration), réunies à Paris le 17 novembre 2012, dénoncent avec vigueur ces pratiques d’un autre âge et réclament la levée des poursuites touchant notre camarade Hamid Majdi et tous les militants syndicalistes et travailleurs des mines de la région de Ouarzazate.

Nous exprimons notre totale solidarité avec la lutte des mineurs marocains et nous soutenons l’appel à la mobilisation lancé par les syndicats démocratiques marocains dans le cadre de la journée du mardi 20 novembre 2012.

Signataires :

AMF/ ATF/ ATMF/ FTCR/ ADTF/ ACORT/ ASDHOM / ACDA/ FCMA/ CSP92/ IDD/ UTIT/ CRLDHT/ N’AOURA Belgique / EMCEMO-Amsterdam/ MIGRATION SANTE/ FASTI/ « Coordination Régionale Rhône-Alpes de Solidarité avec les Sans Papiers /MANIFESTE DES LIBERTES/ ELGHORBA/ AFAPREDESA/ CORELSO/FEMMES PLURIELLES/ COLLECTIF DES COMMUNAUTES SUBSAHARIENNES AU MAROC/ ICI ET LA/ REMCC/ COLLECTIF 3C/ AIDDA/ MCTF/ APCV/ATTS Suisse/ UNIT/ FSQP/ CSP75/ ATTAC/ ASTU – ACTIONS CITOYENNES INTERCULTURELLES- Strasbourg/FCSME,/ Conseil des Migrants (Maroc)/ ODT (migrants Maroc)/UJFP

Contact : cherbib@gmail.com 0650520416 .

delkherchi@yahoo.fr 0622504800

Paris le 19 novembre 2012

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Solidarité avec les travailleurs mineurs de la région de Ouarzazate et leurs leaders

Depuis plusieurs mois les mineurs marocains de la région de Ouarzazate (Sud du Maroc) mènent une lutte acharnée contre les conditions d’exploitation imposées par le patronat des mines, qui n’est autre que le consortium des sociétés minières dont le propriétaire est la famille royale du Maroc ! Les arrestations des travailleurs et de leaders syndicaux de la CDT (Confédération Syndicale du Travail) qui les soutiennent se multiplient et prennent un tournant grave.

Vendredi 16 novembre, le secrétaire général adjoint de la CDT de Ouarzazate, le camarade Hamid Majdi, par ailleurs élu municipal de la ville et membre de l’AMDH (Association Marocaine des Droits Humains), vient d’être arrêté à Marrakech pour officiellement « présence de drogue dans sa voiture » ! Depuis, il a été relâché sous caution dimanche 18 novembre, avant son passage devant les tribunaux. Le camarade Majdi est connu pour son intégrité et sa combativité pour les droits sociaux et humains.

Cette tentative de criminalisation des luttes des travailleurs et de leurs leaders est odieuse. Elle s’inscrit dans le droit fil des pratiques mafieuses connues de longue date de la part de la police marocaine. La dernière en date est celle infligée au camarade Camara Laye, coordinateur du Conseil des Migrants Subsahariens au Maroc (CMSM), poursuivi pour motif fallacieux « trafic de cigarettes et d’alcool » !

Les associations signataires regroupées dans le cadre du FALDI (Forum des Associations des Luttes Démocratiques de l’Immigration), réunies à Paris le 17 novembre 2012, dénoncent avec vigueur ces pratiques d’un autre âge et réclament la levée des poursuites touchant notre camarade Hamid Majdi et tous les militants syndicalistes et travailleurs des mines de la région de Ouarzazate.

Nous exprimons notre totale solidarité avec la lutte des mineurs marocains et nous soutenons l’appel à la mobilisation lancé par les syndicats démocratiques marocains dans le cadre de la journée du mardi 20 novembre 2012.

Signataires :

AMF/ ATF/ ATMF/ FTCR/ ADTF/ ACORT/ ASDHOM / ACDA/ FCMA/ CSP92/ IDD/ UTIT/ CRLDHT/ N’AOURA Belgique / EMCEMO-Amsterdam/ MIGRATION SANTE/ FASTI/ « Coordination Régionale Rhône-Alpes de Solidarité avec les Sans Papiers /MANIFESTE DES LIBERTES/ ELGHORBA/ AFAPREDESA/ CORELSO/FEMMES PLURIELLES/ COLLECTIF DES COMMUNAUTES SUBSAHARIENNES AU MAROC/ ICI ET LA/ REMCC/ COLLECTIF 3C/ AIDDA/ MCTF/ APCV/ATTS Suisse/ UNIT/ FSQP/ CSP75/ ATTAC/ ASTU – ACTIONS CITOYENNES INTERCULTURELLES- Strasbourg/FCSME,/ Conseil des Migrants (Maroc)/ ODT (migrants Maroc)/UJFP

Contact : cherbib@gmail.com 0650520416 .

delkherchi@yahoo.fr 0622504800

Paris le 19 novembre 2012

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Pour la libération du coordinateur du CMSM et la fin de la répression ciblée contre des membres d’associations de migrants au Maroc

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Les organisations soussignées exigent la libération du coordinateur du Conseil des migrants subsahariens au Maroc et l’abandon des poursuites engagées contre lui.

Elles dénoncent la répression ciblée qui s’abat sur les responsables des organisations de migrants au Maroc depuis quelques jours.

Camara Laye, ancien président et actuel coordinateur du Conseil des migrants subsahariens au Maroc (CMSM) a été arrêté à son domicile dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 octobre à minuit, et placé en garde-à-vue au commissariat du 3ème arrondissement de Rabat. Son avocat s’est vu refuser l’autorisation de le rencontrer, en violation du code de procédure pénale et malgré les assurances qui lui avaient été données par le magistrat de permanence au parquet du Tribunal
de Première instance de Rabat. Camara réside régulièrement au Maroc sous couvert d’une carte d’immatriculation. Nous sommes inquiets et craignons que cette arrestation vise à l’empêcher de poursuivre son engagement pour la défense des droits des migrants au Maroc, y compris à travers des poursuites pour une affaire de droit commun fictive, comme cela c’est déjà produit par le passé pour de nombreux militants des droits de l’homme ou opposants.

Cette arrestation fait suite à plusieurs incidents graves nous alarmant :
– menaces directes proférées contre le futur secrétaire général de l’ODT-Travailleurs Immigrés le 10 juin dernier ;
– double « cambriolage » de l’appartement d’un militant du Collectif des communautés subsahariennes au Maroc (CCSM) en l’espace de quinze jours, et vol de son ordinateur ;
– intervention violente de la police accompagnée de « baltagia » (« voyous ») dans un foyer où se trouvaient notamment des membres de l’ALECMA mercredi dernier 17 octobre après-midi à Hay El Farah à Taqadoum. Bilan : 2 blessés, 3 interpellations, vol d’effets personnels
(passeports, argent, ordinateurs, caméras, et même des vêtements et des matelas) et menaces à peine voilées en partant (« à demain » !) ;
– arrestation du secrétaire général d’ALECMA samedi dernier 20 octobre 2012 matin à son domicile. Placé en garde à vue au commissariat du 3ème arrondissement, il a été libéré dimanche 21 octobre 2012.

Ces actions interviennent dans un contexte de répression croissante contre les migrants depuis un an (harcèlement, rafles et déportations accompagnées d’exactions, violences, racket, tant
dans les grandes villes que dans les environs des présides occupés…) légitimée par les discours stigmatisant de responsables politiques (notamment le député USFP, Abdelhadi Khairate, et le ministre PPS de l’emploi et de la formation professionnelle, Abdelouahed Souhail) et d’une certaine presse (Assabah, Almassae, …)1.

Mais un contexte également marqué par la mobilisation, l’organisation et la visibilité croissantes des migrants : CMSM, CCSM, ODT-TI, ALECMA. Par ex :
– participation à la manifestation du 1er mai puis création du premier syndicat de travailleurs migrants au sein d’une confédération syndicale marocaine (ODT-TI) ;
– organisation d’une manifestation à Taqadoum devant le commissariat puis les ambassades pour dénoncer le développement des attaques racistes, l’impunité des auteurs en l’absence d’enquête et demander aux représentations diplomatiques d’assumer leur responsabilité de protéger leurs ressortissants puis création de l’association ALECMA à Taqadoum ;
– nombreuses actions du CMSM et du CCSM, notamment mission CMSM-GADEM, puis rédaction d’une note conjointe ;
– participation nombreuse et active des migrants et de leurs organisations au forum des
migrants organisé à Oujda par le Forum social Maghreb les 6 et 7 octobre 2012.

Au vu de ces éléments, il apparaît évident que l’arrestation de Camara Laye participe d’une démarche continue d’intimidation et de répression à l’encontre des migrants à l’œuvre au Maroc depuis plusieurs mois. Nous demandons l’arrêt de cette répression et la libération immédiate de Camara Laye.

Signature des associations :
Maroc : Groupe antiraciste d’accompagnement et de défense des étrangers et migrants (GADEM), Conseil des migrants subsahariens au Maroc (CMSM), Collectif des communautés subsahariennes au Maroc (CCSM), Association de lutte contre l’émigration clandestine au Maroc (ALECMA), Association marocaine des droits de l’homme (AMDH), Association Beni Znassen pour la Culture, le Développement et la Solidarité (ABCDS), Forum Asile Migration, Forum des Alternatives
Maroc (FMAS), Observatoire marocain des libertés publiques, Action Jeunesse, Organisation démocratique du travail – Maroc (ODT), Organisation démocratique des travailleurs immigrés– Maroc (ODT-I), Institut de formation des agents de développement (IFAD), Fonds d’appui à la dynamisation des organisations communautaires de base (FADOC), Association Rencontre Méditerranéenne Pour l’Immigration et le Développement (ARMID), Femmes pour l’égalité et la démocratie Maroc, Réseau Amazighe pour la Citoyenneté – Azetta, Réseau marocain pour la défense du droit à la santé = droit à la vie, Observatoire national des droits au travail, Pateras de la vida, ATTAC Maroc, Réseau des Associations du Nord du Maroc pour le Développement et la Solidarité (Chabaka), Al Khaïma

Réseaux internationaux :
Réseau euro-méditerranéen des droits de l’homme (REMDH), Migreurop, Afrique-Europe-Interact

Autres pays :
Groupe de recherche et d’actions sur les migrations en Afrique Centrale (GRAMI AC) – Cameroun, Conseil des migrants de France, Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), Association des Réfugiés Sans Frontières – Cameroun (ARSF), Association des refoulés d’Afrique centrale au Mali (ARACEM), Fluechtlingsrat Hamburg (Conseil de Réfugiés de Hambourg), Association « Movimento dei Senza Voce » (Suisse), Fondation Conseil Jeune, membre du GRAMI AC (Cameroun), Ligue des droits de l’homme Belgique, Fédération des Tunisiens citoyens des deux rives – France (FTCR), Comité pour le respect des libertés en Tunisie (CRLDHT), CNCD-11.11.11 – Belgique, SOS Migrants – Belgique, Na’oura Groupe Solidarité Belgique Maroc – GSBM, La Cimade – France, Fédération des associations de solidarité avec les travailleurs immigrés – France (FASTI), Stiftung :do, Hamburg (Allemagne), Association des travailleurs maghrébins en France (ATMF), Initiative démocratie développement – France (IDD), Rete Primo Marzo – Italie, Associazione Giù le frontiere – Italie, Association mauritanienne des droits de l’homme (AMDH), Association de défense des droits de l’homme au Maroc (ASDHOM) – France, Associazione di promozione sociale ARCI – Italie, comité local du Sénégal de la Charte Mondiale des Migrants, Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) – Algérie, Confédération Générale des Travailleurs de Mauritanie (CGTM), Les Alternatifs solidarités écologie féminisme autogestion – France, Cooperazione Internazionale Sud Sud (CISS) – Italie, Centre d’étude et de recherche sur la migration de l’Afrique subsaharienne (CERMAS) – Pays-Bas, Association des Marocains en France (AMF), Groupe d’information et de soutien des immigrés (GISTI) – France, borderline-europe e.V. (Allemagne), Yambi Africa asbl, Belgique, Asociacion pro derechos humanos de Andalucia (APDHA), Confédération général du Travail – Andalousie (CGT-A),

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1 Cf. notamment les communiqués du GADEM de septembre 2011 : http://www.gadem-asso.org/Les-forces-de-l-ordre-marocaines,125 et novembre 2011 : http://www.gadem-asso.org/Les-forces-de-l-ordre-marocaines, les rapports et communiqués de l’AMDH, de l’ABCDS et de MSF et la note d’analyse conjointe CMSM-GADEM de septembre
2012 : http://www.gadem-asso.org/Recrudescence-de-la-repression,142.

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Contact : GADEM – contact@gadem-asso.org – +212 (0)537 72 78 78 ou +212 (0)6 52 45 22 07

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