Association des Travailleurs Maghrébins de France
10 rue Affre - 75018 Paris
01 42 55 91 82 national@atmf.org

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ATMF BHL : conférence débat : L’Islam entre le vrai sens et les stéréotypes en France

1. «L’ISLAM : Le vrai, le beau et le bien», M.Ben Amer SOUARIT, philosophe à l’Institut de philosophie
d’Oran en Algérie, chargé de recherche au laboratoire «La philosophie à travers son Histoire».

L’Islam est une religion monothéiste. Dans sa dimension philosophique, il essaye de rétablir un ordre harmonieux
entre l’homme, son soi et les autres pour une finalité sublime qui est celle de vivre ensemble en concrétisant les
injonctions et les ordres divins qui englobent son vrai bonheur sur la terre et dans l’au-delà.

Malgré cela, cette
religion a été souvent critiquée sévèrement et radicalement et mal interprétée sur plusieurs notions importantes
telles que « le vrai », « le beau », et « le bien » et stéréotypée durant des siècles et des siècles. Pourtant, les
différentes lectures du « Coran » et des « Hadiths » prouvent scientifiquement et philosophiquement une
richesse parlante du sens du « vrai » du « beau » et du « bien » et mettent en évidence leur nature et leur rôle
dans la vie des pratiquants.

Dans une perspective scientifique et philosophique, M. SOUARIT, abordera les problématiques que pose ce
sujet.

2. «L’Arabe dans l’imaginaire social occidental», M. LATAHY, aumônier des hôpitaux universitaires
de Strasbourg.

Entre l’Islam et l’occident, c’est une succession de malentendus et de rendez-vous manqués. Tantôt l’un diabolise
l’autre, tantôt l’un idéalise l’autre.

Ces deux frères en humanité n’ont jamais pris le temps de se regarder
réellement, ils ont toujours eu une vision erronée l’un de l’autre. Pour saisir la stratification convulsive et
tumultueuse de l’image de l’Arabe et de l’Islam dans l’imaginaire social occidental on dispose d’un témoin
privilégié: la littérature. Elle seule traduit et structure la conscience collective. bien avant d’avoir foulé la terre
d’occident, l’Arabe occupait, si ce n’est préoccupait, l’esprit occidental.

Informations et réservations,

ATMF Bassin Houiller Lorrain
Tél : 03-87-92-30-53
Maison des Associations, Quartier Lahitolle
57500 Saint-Avold

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Journée de la femme à l’ATMF de Nancy

JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMME

14h30 Portes Ouvertes, Expositions,
Informations sur les droits des femmes dans le
monde, vente de thé marocain et de gâteaux

16h00 Pièce de théâtre
« J’ai mes trucs et mes choses »
avec LA SMALAH
(Prix d’entrée libre)

17h00 Débat sur les Droits des Femmes

20h00 Repas Couscous (sur Réservation 8 €/12 €)
Accompagné de musique

Sciences Po Nancy,
94, Avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny

La recette de la soirée ira au centre de formation pour jeunes filles rurales au Maroc
(Club féminin des villages avoisinants Douar Beni Hassan, Douar Taaounia, Douar
Sidi Bouaâlam)

Pour les réservations, pour le repas et pour avoir plus d’informations, vous pouvez
contacter :


Human Woman
: E-mail: human.woman.association@gmail.com
Tél: 06.87.58.61.94

ATMF: E-mail: ass.tmf@orange.fr
Tél: 03.83.40.09.69

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Journée de la femme à l’AMMN

A l’occasion de la Journée de la femme le samedi 8 mars 2008, le Centre Historique Minier, en partenariat avec l’Association des Mineurs Marocains du Nord-Pas de Calais, vous invite au :

Café-mémoire sur le thème
Femmes de l’immigration
le samedi 8 mars à 17 h
au restaurant Le Briquet
du Centre Historique Minier

Ouverte à tous, cette manifestation propose aux participant(e)s d’échanger autour de la question de la mémoire. D’origine marocaine, polonaise ou italienne, les femmes de l’immigration racontent la vie « d’avant », le pays d’origine, le voyage puis l’arrivée en France, l’installation, la vie quotidienne, la religion… Elles abordent également leur situation actuelle, les relations avec leurs enfants ou encore avec le pays d’origine.
Femmes, filles ou petites-filles de mineurs, d’origine étrangère ou française, apporteront à coup sûr un vibrant témoignage en livrant un peu de leur vécu de femme.

Une animation musicale sera assurée par le groupe Imzwarne, composé de huit musiciens et chanteurs, qui interprèteront des musiques traditionnelles Chleuh (berbère), Chaabi (kabyle) et Raï.

Afin de se plonger dans l’univers de la mine, le café-mémoire sera précédé d’une visite guidée du circuit minier à 15 h 30.

Café-mémoire de 17 h à 19 h, précédé d’une visite guidée à 15 h 30 pour les participant(e)s qui le souhaitent. Accès gratuit sur réservation obligatoire au 03 27 95 82 96 (du lundi au vendredi).

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Journée de la femme à l’ATMF Aix en Provence

Le 08 Mars 2008
A la salle du Bois de l’Aune
Aix en Provence

Programme

– 14h Visite des stands et expositions des Associations Participantes

– 15h Projections de films par Anonymal suivi d’un débat
Intervention de : ATMF – Comité Chili Amérique Latine – ATTAC
Thème : Femme Citoyenne,
Où en est-elle aujourd’hui, ici et ailleurs ?

– 17 h Extrait de la pièce de théâtre Inventaire Joué par Monique Bart
Et Claudine Bernard de La compagnie du théâtre amateur
On verra ça demain

– 18h Musiques et chants Andalous : Grand Orchestre féminin

– 18 h 30 Défilé de tenues traditionnelles de diverses origines

– 19 h Danses et musiques non stop avec le Dj. Kamel

Entrée libre

Vente de gâteaux et boissons sur place


Associations Partenaires
: ATMF – ANONYMAL – ASTI – STOP VIOLENCE FEMMES

ADIS – ECOLE DES PARENTS – ATTAC – ADDAP – COMITE CHILI AMERIQUE LATINE ACTE CITOYEN Attraction pour enfants avec « VERTIGE ANIMATION »

Contact : 04 42 93 04 28 & O952700982
Mail. atmfaix@hotmail.com

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Rassemblement : Pour le droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers aux élections locales

le mercredi 5 mars 2008

au métro Ledru-Rollin

à 18 heures.

Appel

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5 mars 1848 – 5 mars 2008

Le 5 mars 1848, un décret de la République française supprimait le suffrage censitaire et instaurait pour la première fois au monde, à l’échelle d’un pays, le suffrage dit « universel » ouvert à tous les hommes, de nationalité française, âgés de plus de 21 ans.

Le corps électoral passait subitement de 246 000 électeurs à plus de 9 millions. C’était le premier pas d’une longue marche toujours inachevée, à l’échelle mondiale mais aussi en France, vers un suffrage réellement universel.

Le 21 avril 1944 (96 ans plus tard), le droit de vote est étendu aux femmes par une ordonnance du gouvernement provisoire de la République française à Alger.

Cette revendication, portée par la lutte des femmes, a été bloquée à plusieurs reprises par le Sénat sous la 3ème République. Une quarantaine de pays ont précédé la France dans la reconnaissance de ce droit (Nouvelle Zélande en 1893).

Par la loi du 5 juillet 1974, le droit de vote est étendu aux jeunes de 18 à 21 ans.

Le traité de Maastricht, signé le 5 février 1992, instaure la citoyenneté de l’Union européenne. Les citoyens de l’Union européenne qui vivent dans un pays de l’Union dont ils n’ont pas la nationalité peuvent voter et se porter candidat, dans l’Etat de résidence, aux seules élections municipales et européennes. Tous les pays de l’Union ont mis en pratique ce droit pour les élections européennes de 1994. La France a été le dernier pays de l’Union à ouvrir aux citoyens de l’UE vivant sur son territoire la possibilité de participer aux élections municipales en 2001.

Bien que la représentation politique ne soit pas satisfaisante, 160 ans après l’instauration du suffrage universel masculin, il serait temps que le droit de vote et d’éligibilité soit ouvert à tous les résidents quelle que soit leur nationalité.

Toutes les personnes, toutes les organisations pensant qu’il faut encore avancer vers un suffrage réellement universel sont invitées, porteuses de leurs revendications, au rassemblement le mercredi 5 mars 2008 au métro Ledru-Rollin à 18 heures.

Paris, le 26 février 2008.

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Conférence de presse : Sur la dégradation des droits de l’Homme et les atteintes aux valeurs sacrées au Maroc

A l’appel de l’ATMF, Attac France, le Comité International pour la Libération des Détenus du 1er mai au Maroc, SUD/Solidaires, le PCF, Les Verts, la LCR, la FSU, l’AMF et l’ASDHOM.

La situation des droits de l’Homme au Maroc est alarmante. Les récents événements et les procès et verdicts auxquels ils ont donné lieu sont en effet très inquiétants. Ainsi, lors des défilés du 1er mai, plusieurs membres de l’Association Marocaine des Droits Humains (AMDH), de l’Association Nationale des Diplômés Chômeurs au Maroc (ANDCM) et de l’Union Marocaine du Travail (UMT) ont été arrêtés à Agadir et Ksar El Kébir. Les sit-in de solidarité organisés pour protester contre ces arrestations se sont terminés par dix arrestations à Béni Mellal dont des militants d’Attac Maroc, de l’AMDH, de l’ANDCM, de l’UMT et du Forum Marocain Vérité et Justice. Tous ces militants ont écopé de 1 à 4 ans de prison pour « atteinte aux valeurs sacrées » et « rassemblement non autorisé ». Parmi les prisonniers figure un responsable politique de 72 ans, de santé précaire.

Ces violations des droits d’opinion et d’expression ont alerté de nombreuses associations de défense des droits de l’Homme comme Amnesty International, la Ligue des Droits de l’Homme, la Fédération Internationale des Droits de l’Homme, l’Organisation Mondiale Contre la Torture, qui, à travers communiqués de presse, actions et lettres de protestation ont affirmé leur vive préoccupation devant le manque de respect des conventions internationales protégeant les droits humains, pourtant ratifiées par l’Etat marocain.

Malheureusement, les derniers événements survenus au Maroc renforcent le sentiment d’un tournant répressif et ravivent les pires craintes : un vieillard de 94 ans, handicapé physique et mental, condamné à 3 ans de prison ferme pour « atteinte aux valeurs sacrées » est décédé dans la prison de Settat dans des conditions abominables. Le verdict de la Cour d’Appel de Ouarzazate dans ce qu’on appelle « l’affaire des détenus des neiges » « , où les habitants de Boumaln Dades réclamaient le dégagement des routes d’accès aux villages suite à des chutes de neige abondantes, est tout aussi alarmant : au total 34 années de prison ferme pour 10 condamnés dont 2 ans pour un enfant mineur !

L’ATMF, Attac France, le Comité International pour la Libération des Détenus du 1er mai au Maroc, SUD/Solidaires, la FSU, le PCF, les Verts, la LCR, l’AMF et l’ASDHOM vous invitent pour discuter des développements récents à une conférence de presse le :

mardi 4 mars à 11H

au siège de l’ATMF au 10 rue Affre à paris 18ème

métro barbes ou chapelle

Contact presse : KHAMLICHI Amine, tel : 06.25.87.26.03

EL BAZ Ali, tel : 06.71.61.16.55

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Urgence – Tunisie

Un véritable vent de révolte souffle sur le bassin minier de Gafsa (notamment dans les villages de Redeyef, Métlaoui et Oum Lârayes…)

Depuis le 5 janvier 2008 l’ensemble de la région est en ébullition. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est un concours organisé par le principal employeur dans la région (la Compagnie des Phosphates de Gafsa) dont les résultats étaient entachés de fraudes évidentes, de favoritisme et de népotisme.

Aussitôt connues, ces magouilles ont fait descendre les laissés-pour-compte dans la rue en signe de protestation. Rapidement, ces manifestations se sont transformées en une contestation générale de l’injustice sociale flagrante résultant de la politique économique de l’Etat tunisien.

Femmes et hommes, jeunes et moins jeunes, diplômés et sans diplômes, travailleurs et chômeurs, syndicalistes, enseignants, agriculteurs se sont retrouvés unis pour occuper la rue. Les veuves de mineurs (décédés suite à des maladies professionnelles non indemnisées) sans ressources ont entamé des grèves de la faim. Des familles entières de déshérités ont dressé des tentes à proximité des institutions locales représentatives de l’Etat pour y camper jour et nuit afin d’exprimer leur raz-le-bol et leur désespoir.

Le bassin minier de Gafsa est, depuis 20 ans, en proie à une misère insupportable. Il n’est que de comparer les chiffres officiels du taux de chômage national (14,1%), avec celui de Oum Lârayes (38,5%), Lemdhilla (28,4%), Essand (28%) ou Redeyef (26,7%) pour s’en rendre compte. Des milliers de familles, y vivent, en effet, largement en dessous du seuil de la pauvreté. Ils ne disposent d’aucun revenu, d’aucune couverture sociale, d’aucune aide de quelque nature que ce soit de l’Etat. Lequel ne cesse, cependant, de se targuer de ses prétendues prouesses économiques.

En mettant à nu cette situation économique, sociale et écologique catastrophique, les déshérités de Gafsa ont par là même apporté un cinglant démenti à la propagande officielle concernant les « forts » taux de croissance et « l’absence de misère en Tunisie » ! Le tout par des moyens de contestation pacifiques dénués du moindre débordement pouvant justifier une intervention musclée des « forces de l’ordre ».

Après des tentatives avortées d’étouffement du mouvement, les autorités ont engagé un simulacre de négociations avec la délégation des grévistes (plusieurs ministres se sont rendus sur place) sans proposer la moindre solution concrète à leurs problèmes urgents et vitaux.

Des informations concordantes confirment une présence policière et militaire plus qu’inquiétante autour des principaux villages du bassin minier. Le pire est donc à craindre !

Un appel de détresse a été lancé par la population mobilisée à Redeyef afin que tous les citoyens épris de justice et d’égalité se rendent dans la région lundi 3 mars, date butoir de la fin des « négociations ».

Le 27 février 2008 une réunion d’information/solidarité regroupant des associatifs, des militants et des représentants des partis d’opposition à Paris, s’est tenue au siège de la FTCR. Les participants ont constitué un comité de suivi, d’information et de soutien qui demeure ouvert à tous ceux et toutes celles qui souhaitent y prendre part. Des actions d’information, de soutien et de « lobbying » médiatique à l’échelle nationale et internationale ont été décidés.

Ce comité exprime, d’ores et déjà, son entière et indéfectible solidarité avec les populations du Bassin minier ;

Il reprend à son compte les exigences légitimes des intéressés, et notamment :

* l’annulation des résultats frauduleux du Concours de recrutement de la CPG, et la mise en place d’un dispositif permettant l’embauche des plus nécessiteux
* mettre en place un programme d’embauche des diplômés sans emploi
* l’implication de l’Etat dans la création de grands projets industriels permettant de résorber le plus grand nombre de chômeurs ;
* conformation de la CPG au droit international relatif au respect de l’environnement ;
* garantir aux déshérités les services publics minimums tels que l’électricité, l’eau courante, etc.

Le Comité de Soutien aux Habitants du Bassin Minier de Gafsa (Paris) met en garde le régime tunisien contre tout recours aux « solutions sécuritaires », et le tient pour responsable de toute dégradation violente de la situation.

Il lance un appel urgent aux personnes, associations et organisations (nationales et internationales) de défense des droits de l’homme et de l’environnement à se rassembler autour des déshérités de Gafsa et à leur manifester massivement soutien et solidarité.

Paris, le 28 février 2008

Comité de Soutien aux Habitants du Bassin Minier de Gafsa

C/o FTCR, 3 rue de Nantes 75011 Paris –

Courriel : bassin.minier@yahoo.fr

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Soirée Débat : La marocanité associative en France.

le 20 FEVRIER à 18H30

Salle Saint Bruno – 9, rue Saint Bruno – Paris 18

(M° Château Rouge)Immigration Développement Démocratie

L’association IDD vous invite à une Soirée Débat durant laquelle Antoine Dumont (chercheur MIGRINTER) présentera sa thèse sur le thème de :

« La marocanité associative en France. Militantisme et territorialité d’une appartenance exprimée à distance »

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Maroc : Liberté pour tous les emprisonnés du 1er mai

Communiqué commun Association Marocaine des Droits de l’Homme (AMDH), Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF), Attac France, Comité International pour la Libération des Détenus du 1er mai au Maroc, Ligue française des droits de l’Homme (LDH) et l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme, un programme conjoint de la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) et de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT).

Lors des traditionnels défilés du 1er mai 2007, ont eu lieu dans diverses villes marocaines des manifestations pacifiques. Sept manifestants ont été arrêtés à Agadir et Ksar El Kébir, membres de l’Association Marocaine des Droits Humains (AMDH), de l’Association Nationale des Diplômés Chômeurs au Maroc (ANDCM) et de l’Union Marocaine du Travail (UMT). Plusieurs sit-in de solidarité ont été organisés pour protester contre ces arrestations. Celui de Béni Mellal s’est terminé par dix arrestations dont des militants d’Attac Maroc, de l’AMDH, de l’ANDCM, de l’UMT et du Forum Marocain Vérité et Justice.

De lourdes peines ont été prononcées contre ces manifestants accusés d’avoir porté et d’organiser un « rassemblement non autorisé sur la voie publique » alors qu’ils n’ont fait que porter, pacifiquement, sur la place publique, leurs revendications sociales ou exprimer leur solidarité avec les manifestants arrêtés le 1er mai.

Les organisations de défense des droits de l’Homme ne s’y sont pas trompées : il s’agit bel et bien de prisonniers d’opinion, réprimés pour avoir pratiqué leur droit de manifester pacifiquement ou d’exprimer leur solidarité avec leurs camarades. Le 6 février, la Cour suprême a reconnu la vacuité des charges retenues contre sept militants arrêtés à Béni-Mellal tout en retenant l’accusation, infondée, d’« atteinte aux valeurs sacrées » contre trois militants qui sont ainsi condamnés à un an de prison ferme.

C’est pourquoi l’AMDH, l’ATMF, Attac France, le Comité International pour la Libération des Détenus du 1er mai au Maroc, la LDH et l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme expriment leur vive préoccupation devant ces condamnations et dénoncent l’emprisonnement des militants concernés.
Elles expriment leur solidarité avec les manifestants inculpés et demandent la libération immédiate et inconditionnelle de tous les emprisonnés du 1er mai au nom du respect de la liberté d’expression et des conventions internationales signées par l’Etat marocain.

Paris, Genève, le 14 février 2008.

Association des Travailleurs Maghrébins de France

10, rue AFFRE 75018 – Paris

tél : 01.42.55.91.82 / fax : 01.42.52.60.61
E.mail : national@atmf.org Site : www.atmf.org