Association des Travailleurs Maghrébins de France
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D’El Ejido à Rosarno, les émeutes racistes perdurent et se ressemblent

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Mort suspecte dans un centre de rétention belge. Communiqué de la FTCR

Lundi 4 janvier, M. Yahya Tabbabi, 31 ans, demandeur d’asile politique de nationalité tunisienne,

originaire de la ville de Redeyef du bassin minier de Gafsa, est décédé dans le centre de détention pour étrangers en situation irrégulière à Vottem, près de Liège, en Belgique.

Les circonstances de son décès restent obscures.

Alors que le directeur du centre fermé et la porte-parole de l’Office des Etrangers évoquent un problème de toxicomanie, la famille de M. Tabbabi, que nous avons contactée, plusieurs autres retenus au centre de Vottem et les associations locales de défense des droits de l’Homme évoquent un problème de maladie non soignée.

Rappelons que M. Tabbabi, était parmi les sans papiers Nantais, originaires de Redeyef, qui occupaient un immeuble du quartier « Sillon de Bretagne » à Saint Heberlain dans la Banlieue de Nantes, que Ce groupe avait été expulsé par la police le 15 décembre 2009 et leurs affaires jetées à la déchetterie.

Suite à cette expulsion M. Tabbabi a choisi de partir en Belgique où il a été interpellé le 31 Décembre 2009 avant de décéder trois jour après au centre de rétention de Vottem.

La Fédération des Tunisiens Citoyens des deux Rives (FTCR) :

· présente ses sincères condoléances à la famille de M. Tabbabi, à ses proches et à ses amis et les assure de son soutien dans ces moments difficiles.

· Affirme son soutien aux détenus au centre de rétention de Vottem qui ont entamé une grève de la faim.

· demande la libération et la régularisation de tous les détenus.

· demande que toute la vérité soit faite concernant la mort de M. Tabbabi.

· condamne les politiques européennes en matière d’immigration qui nient les fondements de la liberté et des droits démocratiques en permettant d’emprisonner les étrangers sans jugement.

· dénonce la collaboration des pays du sud avec les autorités des pays européens, notamment de la Tunisie, dont les services consulaires collaborent « admirablement » avec les administrations françaises et européennes sans prendre en compte les intérêts des ressortissants tunisiens qu’ils seraient pourtant sensés défendre.

· exige l’arrêt des expulsions et la fermeture des centres de rétention en France, en Europe et au Maghreb.

Pour la FTCR

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IDD, soirée débat : « Aux nouvelles frontières de l’Europe. L’aventure incertaine des Sénégalais au Maroc »

Dans le cadre des soirées-débats organisées par le réseau IDD (Immigration Développement Démocratie) nous avons le plaisir de vous inviter à l’échange avec Anaik Pian et la présentation de son livre

« Aux nouvelles frontières de l’Europe.

L’aventure incertaine des Sénégalais au Maroc »

Paru aux éditions La Dispute

Vendredi 8 Janvier 2010 à 18 heures

Au siège d’IDD

130, rue des poissonniers

75018- Paris

Métro : Marcadet-Poissonniers

Le Maroc est l’un des principaux points de transit de l’émigration africaine subsaharienne vers l’Europe.

Issu d’une enquête ethnographique de terrain menée au Maroc entre 2003 et 2006 par l’auteure, ce livre analyse les motivations et les moyens auxquels ont recours les migrants sénégalais, qui constituent l’un des gros contingents de cette émigration, pour tenter d’atteindre l’autre rive de la Méditerranée malgré les obstacles dressés devant eux.

Loin des préjugés et raccourcis habituels, Anaïk Pian décrit une « aventure » migratoire motivée par des projets complexes et profondément façonnée par les dispositifs de contrôle des frontières conçus en Europe et mis en place par le Maroc.

Cette nouvelle dynamique migratoire, dont l’auteure propose une explication sociologique, tend ainsi à transformer le Maroc en un « espace-temps de l’entre-deux ».

Cette impasse, où le « en cours de route » du transit se transforme peu à peu en « fin de route », contraint les « aventuriers » à s’organiser pour faire face à l’attente, aux contrôles policiers, et finalement, bien souvent, à la déroute de leur projet migratoire.

Cet ouvrage nous invite à réfléchir à l’évolution de la situation migratoire mondiale où l’accès à la mobilité se polarise toujours plus entre ceux qui peuvent voyager sans contraintes et ceux qui sont assignés à résidence.

Anaik Pian est docteure en sociologie et a soutenu en 2007 sa thèse intitulée « Les Sénégalais en transit au Maroc. La formation d’un espace-temps de l’entre-deux aux marges de l’Europe » (Université Paris 7, Urmis). Depuis, elle poursuit ses recherches au Maroc et au Sénégal, dans le cadre du projet ANR Mitrans « Migrations de transit en Afrique » et du projet européen Eurobroadmap sur les représentations de l’Europe dans le monde.

Elle enseigne actuellement à l’Université de Bretagne occidentale (ARS/SUFCEP) en tant qu’ATER.

IDD
130 rue des Poissonniers
75018 Paris
Tél : +33 1 55 79 09 34
http://www.idd-reseau.or

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Dans ou hors des centres de rétention, La Cimade poursuivra son action auprès des étrangers

Le 16 novembre 2009, le Conseil d’Etat a annulé la décision du juge des référés du tribunal administratif de Paris. Cette juridiction avait suspendu les contrats signés par le ministre de l’Immigration relatifs à la mission d’aide aux étrangers dans les centres de rétention administrative (CRA). Le tribunal administratif de Paris a depuis rendu une décision au fond allant dans le même sens que celle du Conseil d’Etat, rejetant le recours formulé par La Cimade.

La Cimade manifeste à nouveau son opposition à cette réforme qui rendra plus difficile l’accompagnement et la défense des étrangers retenus, placera les différentes associations ou « personnes morales » qui interviendront en rétention dans une situation de concurrence absurde en matière de défense des droits de l’Homme. Cette réforme supprime une vision nationale de la situation des migrants en instance d’expulsion et affaiblit le rôle fondamental de témoignage et de contrepoids de la société civile.

La réforme voulue par le gouvernement en août 2008 entrera en application le 1er janvier 2010. Cette date marquera la fin d’une mission associative nationale et indépendante dans les CRA, telle qu’elle a été construite depuis 25 ans. La Cimade, actuellement présente dans tous les centres de rétention, en quitte aujourd’hui 13. Elle y sera remplacée par d’autres associations. Elle espère que ces dernières sauront faire preuve de l’indépendance et de la détermination nécessaire pour mettre en œuvre une action de défense des droits des étrangers ; mission dont la nécessité a par ailleurs été réaffirmée par le Conseil d’Etat. La Cimade espère aussi que le témoignage essentiel sur la politique d’expulsion et sur ces lieux d’enfermement que sont les centres de rétention se maintiendra.

Les instances de La Cimade souhaitent à cette occasion citer la lettre ouverte, rédigée par ses intervenants en rétention le 2 juin 2009, lorsque le départ de l’association de certains centres avait été initié, avant qu’une décision de justice ne suspende cette mesure :
« (…) depuis 25 ans, La Cimade n’a cessé d’aider les étrangers enfermés par la rédaction de recours devant les tribunaux et de saisines individuelles en direction des administrations compétentes.
Nous avons eu à coeur de développer un travail de relations avec vos familles, vos avocats et l’ensemble de vos soutiens associatifs et syndicaux. Nous avons assumé la rédaction de rapports et de communiqués de presse pour alerter l’opinion publique sur les pratiques administratives et les drames humains créés par la politique du chiffre.
Contraints par le gouvernement à quitter (certains) centre(s) de rétention (…), nous vous promettons de développer d’autres moyens d’action pour vous accompagner dans vos démarches avec la même détermination et témoigner publiquement de vos situations et de vos conditions d’enfermement.
Nous, bénévoles et salariés de La Cimade, intervenants en centre de rétention, tenons à vous manifester plus que jamais notre solidarité et notre soutien. Dehors ou dedans, nous ne vous abandonnons pas et restons auprès de vous conformément aux valeurs et aux engagements de La Cimade depuis son origine en 1939 pour agir en solidarité auprès des populations déplacées et enfermées. »

La Cimade tient à saluer publiquement l’engagement et la détermination de toutes celles et ceux qui, depuis 25 ans, ont réalisé et fait évoluer cette mission associative dans les centres de rétention, action unique en Europe. Elle réaffirme également qu’avec ses partenaires associatifs, elle poursuivra quoi qu’il advienne sa présence et son action pour le respect des droits et de la dignité des étrangers dans ou hors des centres de rétention.

31 décembre 2009

La Cimade :

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Marche de Noël pour l’application de la loi de réquisition !

Alors que la crise du logement s’aggrave, il y a 1,8 millions de logements vacants en France, dont 330 000 en ile de France et 122 000 à Paris, selon l’INSEE. Ils sont vides par négligence, par calcul mercantile, par refus égoïste de louer … et ceci, sans compter les millions de mètres carrés de locaux et de bureaux également inoccupés …

Ces logements sont vacants alors que 15 000 ménages en ile de France dont 10000 à Paris sont reconnus prioritaires et attendent que les Préfet les reloge comme les y oblige la loi DALO

Ils sont vacants, alors que des artistes, des précaires, des intermittents des jeunes, des étudiants, ou des mal-logés réquisitionnent des espaces vacants pour se loger, en faire des lieux de vie, de travail et d’échange. Ils restent toujours vides lorsque les habitants en ont été expulsés.

Ils sont vides alors que les résidents de foyers sont expulsés et campent dans la rue, que des demandeurs d’asile se cachent pour dormir dans des squares et des sous bois,

Ils sont vides, alors que les sans abris meurent plus nombreux chaque année, que les enfants des taudis sont atteint de saturnisme, que les famille entières sont en errance sans pouvoir assurer une vie et une scolarité décente à leurs enfants, car ils sont privés de logement

Ils sont vides alors que les marchands de sommeil, les spéculateurs et les bailleurs privés font leur beurre, que les couches populaires sont chassées des centres, que les jeunes et les étudiants ne peuvent plus se loger que les locataires se serrent de plus en plus la ceinture pour payer leur loyer…

Ils sont vides, alors que 1,3 millions de familles attendent un HLM, dont 300 000 familles en Ile de France, que le nombre d’expulsions sans relogement est en hausse à cause de la spéculation et de la flambée des loyers.

L’État est en faute, car il refuse d’appliquer la loi de réquisition, il piétine la loi DALO. Or la loi de réquisition a été utilisée avc succès depuis sa création en 1945, notamment en 1995 et 1996, suite à l’occupation de la rue du Dragon par des sans logis, des associations, l’Abbé Pierre, et beaucoup d’autres..

La décision appartient au Gouvernement, en donnant instruction aux Préfets d’appliquer la loi, tout simplement !

Marche de Noël

pour l’application de la Loi de réquisition :

Samedi 19 décembre, à 14h,

Place Notre-Dame-de-Lorette Ligne 12

Pour dénoncer des logements vacants, déposer des demandes de réquisition pour des sans logis et des mal-logés, des expulsés, des prioritaires DALO, exiger l’application de la loi … demander l’arrêt des expulsions.

A l’appel de (1er signataires) :CDSL , COPAF, DAL, jeudi noir , Union Solidaires ,ATMF…

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Le Gisti persiste et signe : les délits de la solidarité existent

Communiqué du Gisti

Le Gisti persiste et signe : les délits de la solidarité existent

L’aide aux étrangers dans l’engrenage policier et judiciaire

Tandis que se manifestent de plus en plus clairement les conséquences souvent dramatiques, parfois cruelles, d’une politique d’immigration fondée sur la répression, a-t-on encore le droit de refuser la mise au ban de la société des étrangers en situation irrégulière, de venir en aide aux sans-papiers, de contester, par la parole ou par les gestes, cette politique aveugle et violente ?

Face aux déclarations péremptoires du ministre s’obstinant à nier l’évidence, le Gisti a commencé, dès le mois d’avril 2009, à dresser la liste des condamnations prononcées depuis 1986 contre des personnes ayant apporté une aide à des étrangers sans papiers, le plus souvent en les hébergeant.

L’ambition du dossier que le Gisti met en ligne aujourd’hui sur son site va plus loin. Il porte en effet sur l’ensemble des « délits de la solidarité », c’est-à-dire toutes les formes de répression visant ceux qui, français ou étrangers, refusent – par conviction, par générosité, par simple sentiment d’humanité… – de céder aux injonctions du pouvoir et manifestent, sous une forme ou sous une autre, leur solidarité avec les sans-papiers. La répression de la solidarité emprunte parfois des chemins détournés dans le but de disqualifier les militants ou les acteurs humanitaires visés qui peuvent ainsi être accusés d’emploi illégal, de diffamation, d’outrage ou de dégradations.

Au nom d’un objectif érigé en dogme – sous le nom de « maîtrise des flux migratoires » en France ou de « gestion intégrée des frontières extérieures » au niveau de l’Union européenne –, des atteintes de plus en plus graves sont portées aux droits fondamentaux des migrants. Ceux qui refusent d’endosser les morts, la misère et les humiliations quotidiennes que secrète immanquablement cette politique illusoire mais féroce de fermeture des frontières doivent pouvoir agir et s’exprimer librement.

www.gisti.org/delits-de-solidarite

Le 14 décembre 2009

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Meeting des travailleurs et travailleuses sans papiers en grève Lundi 14 décembre 2009 à 19 h

6 000 grévistes
400 travailleuses chez des particuliers
2 100 entreprises concernées
9 semaines de grève

Nous exigeons une circulaire de régularisation avec des critères clairs, améliorés, sans
discrimination d’origine ou de métier, et qui s’appliquent à l’ensemble du territoire.

La circulaire du ministère de l’Immigration publiée le 24 novembre ne répond que très
partiellement aux revendications des grévistes et des onze organisations syndicales et
associatives qui organisent ensemble le mouvement de grève depuis le 12 octobre. Elle
n’améliorera pas la situation des travailleurs sans papiers.
Le gouvernement, et en particulier le ministère du Travail, doit reprendre les discussions.

Les travailleurs sans papiers
ne lâcheront pas !

Meeting des travailleurs
et travailleuses
sans papiers en grève
Lundi 14 décembre 2009 à 19 h
Halle Carpentier
81, bd Masséna 75013 Paris – métro Porte-de-Choisy

Meeting à l’appel de : CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires,
Cimade, Ligue des droits de l’homme, RESF, Autremonde,
Femmes Égalité, Droits Devant!!

Avec le soutien de : ACORT, ACTIT, ATIK, ATMF, Attac,
Centre culturel de Ahmet Kaya, CRCD, FASTI, FTCR, MR

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Ali Ziri : 6 heures pour la vérité et la justice, samedi 12 décembre 2009

NON AUX VIOLENCES POLICIERES

Les violences policières commises en France, liées au délit de faciès, ne datent pas d’aujourd’hui. Les plus âgés se souviennent du 17 octobre 1961 et des jours qui suivirent où des lgériens ont été torturés, tués et jetés à la Seine.

Des centaines d’’autres ont encore en mémoire les bavures policières qui ont conduit à la mort de Malik Oussekine à Paris (1986), d’Aïssa Ihich à Mantes-la-Jolie (1991), de Mohamed Saoud à Toulon (1998), de Sydney Mamoka à Tourcoing (1998), de Ziad et Bouna à Clichy-sous-Bois (2005), de Mohssine et Larhamy à Villiers-le-Bel (2007), de Lamine Dieng à Paris (2007), de Hakim Adjimi à Grasse (2008)…

La liste est trop longue pour être énumérée dans sa totalité. On dénombre plus de 300 jeunes morts, ces vingt dernières années, à la suite d’interpellations policières musclées. Même les Chibanis (seniors immigrés) ne sont pas épargnés.

Le 9 juin 2009, Ali Ziri, 69 ans, et son ami Arezki Kerfali, 61 ans, ont été arrêtés et – comble de l’ironie – tabassés par trois policiers âgés entre 21 et 28 ans. Ali Ziri tombe dans le coma et finit par mourir le 11 juin dernier à l’hôpital d’Argenteuil. Une première autopsie concluait à une mort par “hypertrophie cardiaque”. Le parquet de Pontoise décida alors de classer l’affaire en considérant qu’il n’y avait pas eu de violences policières.

Devant la pression citoyenne, qui a fini par alerter les médias, le procureur de la République de Pontoise est revenu sur sa décision pour ordonner des investigations complémentaires. Un juge d’instruction a été nommé et une contre-expertise a révélé, le 17 juillet dernier, que ce sont bien des coups qui ont tué Ali Ziri. Des traces d’hématomes de 12 à 17 cm ont été relevées sur tout le corps du défunt. Un réquisitoire supplétif “pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner” a été délivré, début octobre, au juge d’instruction en charge de ce dossier.

Malgré ces faits accablants, les policiers impliqués dans cette affaire continuent toujours d’exercer leurs fonctions au commissariat d’Argenteuil et déambulent en toute impunité dans les rues de la ville. Le collectif a décidé d’amplifier la mobilisation citoyenne en organisant une table ronde ayant pour thème “les violences policières d’hier et d’aujourd’hui”.

Lors de cette rencontre, des membres du collectif prendront la parole pour rétablir les faits et exiger que les policiers, auteurs de ces violences, soient suspendus, jugés et condamnés. Le tout en lien avec la présence des familles et des témoins de violences policières de ces dernières années en France, de personnalités publiques, de juristes, de sociologues et des associations, qui interviendront également pour évoquer les nombreuses mobilisations actuelles et futures contre les violences policières.

RENCONTRE du 12 DÉCEMBRE 2009

de 17 h à 23 heures – Salle SAINT-JUST
(Place Saint-Just)
sur la dalle, près de la Gare du Val-d’Argent.


Contact
: ATMF : 01 39 82 81 48 –
atmfargent@yahoo.fr – www.atmf.org
17 heures

– Projection du Film – REGARDE à VUE
sur l’Affaire ABDELHAKKIM AJIMI,
mort à 22 ans, suite à une clé d’étranglement.
avec les Victimes et Témoins des Violences policières,

– Collectifs locaux invités, le Point sur l’Affaire Ali ZIRI,
Poème dit par AÏT MENGUELLET

– suivi d’une Pause Casse-croûte, vente de T-Shirts au profit du Collectif Ali ZIRI.

– 20 heures : Projection du Film – Les FIGUIERS BLANCS
les Bidonvilles à ARGENTEUIL
Les Répressions policières pendant la Guerre d’ALGÉRIE en France.

– 20 heures 40 : DÉBAT
LES VIOLENCES POLICIÈRES avec :

SAÏD BOUAMAMA, sociologue
militant engagé dans les luttes de l’Immigration
pour l’Égalité réelle des Droits en France,

MEDHI LALAOUI,
(sous réserve),
écrivain, cinéaste
président de l’association Au NOM de la MÉMOIRE,
MAURICE RAJSFUS,
historien militant,
président de l’Observatoire des Libertés publiques,

ÉVELYNE SIRE-MARTIN,
(sous réserve),
magistrate, ex-présidente du Syndicat de la Magistrature,
membre de la Fondation Copernic,

– SAMI SKANDER,
avocat en charge du dossier ALI ZIRI,
spécialiste du Droit des Étrangers et du Droit pénal.


Les membres du collectif (premiers signataires)
:
AC le feu, AMABVO, Alternative Libertaire, Argenteuil Plurielle, ASDOM, ATMF, CIVIC, CGT, FTCR, GISTI, JC 95, Les verts, LO, MIB, MIR, MJS 95, MQJS, MRC, NPA, PCF, PCOF, PG, SDAE, Résidents Foyer Remparts, PS Argenteuil, PS 95, Proches et amis d’Ali Ziri, Proches et amis d’Arezki Kerfali…

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